
La Pelouse
Toponyme avec le sens de terrain herbeux non cultivé, terre en friche. Nom pouvant venir du latin pilosa (velue, herbeuse) ou du surnom d’un homme latin.

« Les Pelouses » vient de l’ancien français « peleus » garni comme un tapis de poils (1150), prenant le sens de terrain gazonné consacré à l’exercice des armes et de la javeline un peu plus tard (vers 1220).
Les recherches sur l’origine de la pelouse ont permis de remonter jusqu’au Moyen-Âge et aux étendues d’herbe courte, sans arbre ni buisson, qui entouraient les châteaux. Ces espaces permettaient aux gardes de localiser rapidement les ennemis potentiels en approche, Parmi les premières pelouses figuraient également les zones communes dédiées au pâturage des bêtes des villageois. L’herbe restait courte sous l’effet du piétinement et du broutage.


Les Perriers
Mot pouvant provenir de « pierre », qui signifie « amas de cailloux ».
Sur la charte de Bois-Rahier, en 1346 cette propriété était dénommée Hospicium de Perriers. Ancien fief relevant du château de Tours à foi et hommage lige. Le droit de haute et basse justice lui fut accordé en 1610.


Ils ont vécu aux Perriers…

La Péraudière
ou « Peraudrie ». Fief de Voierie.
Au Moyen-Âge, le « Perreot » était un carrier extrayant et taillant des meules.

Cette ferme était située en bordure du CV300 mitoyen entre Joué-lès-Tours et Chambray, avant la Gastière dont elle dépendait.
Elle appartenait à Jacques des ESSARDS, noble émigré, et fut vendue comme bien national en 1793.
Ses bâtiments se sont écroulés dans les années 1950-60.
Ils ont vécu à La Péraudière…
C’est une bonne idée ces arbres généalogiques liés à chaque lieu !