P comme Pont-Boutard et Puits-Saint-Michel

P comme Le moulin de Pont-Boutard :
Article écrit par M. Olivier RANJARD, adhérent CGDT, et paru dans le Bulletin municipal de Saint-Michel-sur-Loire en juin 2013.

P comme Le moulin de Puits-Saint-Michel :
Article de Monique GROUSSIN, Trésorière et membre du Centre Généalogique de Touraine.

Le moulin de Pont-Boutard

Ancien moulin de la seigneurie de Pont-Boutard, commune de Saint-Michel-sur-Loire. Certains anciens actes notariés citent « les moulins de Pont-Boutard », car à l’origine il avait 2 roues.

Établi au XVIIème siècle (aveu de propriété du 3 mai 1662), sur un ancien bail il est dénommé moulin Banquier de Pont-Boutard. La légende orale véhicule qu’un M. BOUTARD aurait créé le pont … ? à l’emplacement d’un ancien gué. Il est établi sur la petite rivière de la Roumer qui, sur un cours de 19 km, a fourni l’énergie à vingt moulins.
Tous les moulins à eau étaient assujettis à une réglementation existant jadis par ordonnances royales. Les moulins avaient un système hydraulique qui comprenait : un niveau réglementaire, composé d’une borne sculptée dans une pierre qui indique la hauteur maximum des eaux à retenir ; un déversoir pour les eaux ordinaires, dont la longueur égale la largeur de la rivière ; un vannage de décharge pour les crues, dont le débit égale la largeur de la rivière.

Vannes du moulin de Ponboutar

En général, le système hydraulique était réglementé par l’autorité administrative. L’architecture relevait du propriétaire. Le mécanisme dépendait du meunier. Les meuniers, employés par bail de fermage, avaient le droit exclusif d’usage de l’eau comme force motrice, à charge pour eux de curer la rivière et d’entretenir les chaussées, les digues et les vannes.

En octobre 1792, il est vendu par le Duc de Luynes, et le meunier était Julien ROUER.
En août 1816, un rapport de l’ingénieur en chef des Ponts et Chaussées inclut un plan du moulin de Pont-Boutard comprenant encore à l’époque 2 roues.
29 juillet 1818, procès-verbal établi par le maire de Saint-Michel, M. PERCY, pour la pose de l’échantillon du moulin et usine de Pont-Boutard situé sur la rivière de la Roumer, commune de Saint-Michel, avec M. Louis HUBERT-ROI, propriétaire du moulin. La pose de l’échantillon consistait à indiquer une marche placée dans le mur de la chaussée du côté de l’étang et dont le dessus fixait et déterminait la hauteur d’eau à respecter. Ce procès-verbal comprend également un dessin des fondrières, ou vannes, du dit moulin.
19 mars 1843, devant maître BIERMANT, notaire à Langeais, est établi un bail à ferme du moulin de Pont-Boutard par M. GIRARD, propriétaire, aux époux BAUDRY.
M. Jean GIRARD-HUBERT, boulanger demeurant à Benais, a affermé pour 12 années au sieur Louis BAUDRY, meunier, et Marie FOUCRAY sa femme, le moulin à eau de Pont-Boutard, avec toutes les appartenances et dépendances pour la somme annuelle de 850 francs argent, 6 poulets et 6 anguilles.

18 octobre 1852, un procès-verbal de visite des lieux du moulin de Pont-Boutard fait par l’Ingénieur des Ponts et Chaussées, dans le cadre de l’arrêté de M. le Préfet d’Indre-et-Loire en date du 24 mai 1849, prescrivant le règlement général des moulins situés notamment sur la rivière de la Roumer, M. GIRARD-HUBERT étant propriétaire du moulin.
L’état des lieux mentionne : « Le moulin de Pont-Boutard a deux roues motrices. La roue de gauche  abandonnée depuis longtemps est dans un état qui ne lui permet plus de fonctionner. La roue de droite a 1 m 70 de largeur et 4 m 25 de diamètre entre l’extrémité des aubes. La vanne motrice a 1 m 75 de largeur et 0 m 70 de hauteur ; son seuil est à 3 m 178 en contrebas du repère provisoire. 4 vannes de décharge ont été construites dans la chaussée du moulin. Le moulin de Pont-Boutard n’a pas de déversoir. »

12 janvier 1853, le Service Hydraulique des Ponts et Chaussées de Tours a établi des plans en détails des abords du moulin, ainsi que du nivellement en long et en travers des biefs du moulin de Pont-Boutard sur la Roumer, sur la commune de Saint-Michel-sur-Loire, appartenant au sieur GIRARD-HUBERT.

21 mars 1853, le Préfet d’Indre-et-Loire signe un arrêté de règlement d’eau régulant les moulins usines de la Roumer. Pour le moulin de Pont-Boutard, le sieur GIRARD-HUBERT est autorisé à maintenir en activité une usine destinée à moudre le blé qu’il possède sur la rivière de la Roumer, dans la commune de Saint-Michel. Des spécificités techniques à respecter lui sont communiquées.
2 juillet 1854, devant maître BIERMANT, notaire à Langeais, bail du moulin de Pont-Boutard par M. GIRARD aux époux BENOIST.
M. Jean GIRARD-HUBERT, boulanger, demeurant à Benais, a établi un bail à ferme 3/6/9 du moulin de Pont-Boutard au sieur René BENOIST, meunier et Jeanne GAULTIER sa femme, pour le moulin à eau de Pont-Boutard avec tous les bâtiments d’habitation et d’exploitation, ainsi que les prés y attenant.

23 novembre 1859 : Procès-verbal de récolement établi par l’ingénieur ordinaire du service hydraulique à Tours au Moulin de Pont-Boutard en présence de M. le maire de St-Michel, et de M. CHIVERT-GIRARD représentant M. GIRARD, son beau-père propriétaire du Moulin de Pont-Boutard, pour constater que les travaux exécutés sont conformes aux dispositions prescrites notamment le vannage, les canaux de décharges, le couronnement du déversoir construit en pierre de taille et les maçonneries en mortier de chaux hydraulique. Les digues sont entretenues en bon état, il a été posé à l’amont de l’usine auprès et à droite du déversoir un repère fixe et invariable (borne graduée), permettant de vérifier les hauteurs des eaux par rapport au niveau légal de la retenue.

28 avril 1873 : en l’étude de maître BIEMANT à Langeais, bail du moulin de Pont-Boutard par la tutrice de Mme CHIVERT aux époux GUINEBAULT-LAMBERT : Mme Marie HUBERT, veuve de M. Jean GIRARD, tutrice de Mme Marie-Éleonore GIRARD veuve de M. Urbain CHIVERT, a établi un bail à ferme de 9 ans pour le moulin à eau de Pont-Boutard à M. Auguste GUINEBAULT et Madeleine LAMBERT sa femme pour 750 francs de fermage annuel.
30 septembre 1884 : M. Jean PAUVERT et son épouse, Anne Marcelline GUÉRIN, achètent le moulin devant Maître ANTHEAUME, notaire à Chouzé, à la famille HUBERT et DAVID.
10 mars 1896 : M. PAUVERT, propriétaire du moulin de Pont-Boutard, fait une demande au Préfet pour réparer et modifier le déversoir. Celui-ci sera placé dans la chaussée du moulin, en tête d’un ancien canal d’amenée d’une roue supprimée ; il aura 6 m de longueur, avec sa crête dérasée au niveau légal de la retenue. Les réparations et modifications seront autorisées.
M. PAUVERT fit également installer une turbine, avec engrenages qui se branchaient sur le moteur hydraulique et une paire de meules : meules qui venaient de la fabrique Brigault à Cinq-Mars-la Pile, de renommée nationale au XIXème siècle, qui équipa presque tous les moulins de la région Centre.
26 février 1901 : M. PAUVERT en fait donation à son fils M. Jean Marcel PAUVERT- MARIDONNEAU, devant Maître COLIN, notaire à Langeais.
23 août 1919 : M. Maxime TOUCHOTTE, meunier locataire, demande l’autorisation au service hydraulique à Tours de lever les vannes de décharge du moulin de Pont-Boutard, pour lui permettre d’exécuter le faucardement et de réparer le déversoir de son usine. Les réparations sont autorisées sous conditions. De surcroît il est rappelé que l’usinier est libre de se servir ou non de la chute d’eau de son usine, et n’a pas à être autorisé pour exécuter la manœuvre de ses vannes de décharge.
Décembre 1949 : époque du chômage définitif du moulin qui cessa de moudre du blé.
22 décembre 1949 : le moulin est racheté par M. PIAUMIER, devant Maître COIRIER notaire à Langeais, à M. et Mme PAUVERT MARIDONNEAU, et Mme GOURON FAUVY, nièce de M. PAUVERT.
Octobre 1959 : Le propriétaire du moulin étant M. PIAUMIER, un litige survient entre les exploitants de la prairie de Pont-Boutard et le moulin de Pont-Boutard : pétition pour obtenir un curage du bief amont du moulin par le Syndicat de la Roumer venant d’être créé.
Litige également entre le maire de Saint-Michel-sur-Loire et le propriétaire du moulin pour demander réparations des vannes.

En hiver 1960, crue importante de la Roumer : les eaux d’un grand débit provenant de la rupture de digues d’étangs en amont, passèrent par au-dessus des digues et vannes du moulin, emportant même des pans de murs de granges voisines (photo).

16 juin 1961 : devant Maître Emile FÉLIX notaire à Bourgueil, le moulin est acheté par M. Gualbert DURAND et son épouse Suzanne VALLÉE.
18 janvier 1972 : M. Jean-Claude ROTEREAU, habitant Saumur et propriétaire riverain à Pont-Boutard, a porté plainte à la Direction Départementale de l’Agriculture d’Indre-et-Loire à Tours contre le propriétaire du moulin de Pont-Boutard, M. Gualbert DURAND, car ses terrains étaient inondés, le niveau du cours d’eau de la Roumer étant maintenue en permanence à un niveau élevé par les retenues du moulin. Ceci occasionnant un préjudice à ses plantations de jeunes peupliers qui ne pouvaient se développer dans des terrains marécageux. M. de MARSAC, ingénieur chargé de l’Hydraulique Agricole, est intervenu auprès de M. Gualbert DURAND pour lui demander de lever suffisamment les vannes pour ne pas occasionner de dommages aux propriétaires amont, ceci en attendant les travaux d’aménagement que devait mettre au point le Syndicat de la Roumer après enquête.
11 janvier 1973 : une convention tripartite est signée entre le Syndicat Intercommunal d’aménagement des Cours d’Eau du Bassin de la Roumer, M. Gualbert DURAND, demeurant à Pont-Boutard et propriétaire du moulin de Pont-Boutard, ainsi que la commune de Saint-Michel-sur-Loire représentée par son maire M. Auguste RENARD :
Le propriétaire n’utilisant plus la chute, cède à la commune de Saint-Michel-sur-Loire l’usage de la retenue, étant entendu que celle-ci ne sera plus utilisée pour la production de force motrice. La commune de Saint-Michel-sur-Loire se substitue à M. Gualbert DURAND dans ses droits et obligations, notamment au regard de la législation sur le régime des eaux. De ce fait la commune se substitue au propriétaire et devient soumise aux obligations édictées par le règlement d’eau du moulin (arrêté préfectoral du 28 février 1885) quant à la manœuvre des vannes et à l’entretien des ouvrages de retenue. M. DURAND s’engage à murer le canal alimentant la vanne motrice. La commune de St-Michel a accepté l’abaissement du niveau légal de la retenue d’eau, et la construction d’une vanne supplémentaire par le Syndicat de la Roumer.

21 février 1974 : un arrêté préfectoral confirme cette modification du règlement du moulin de Pont-Boutard, où la commune de Saint-Michel-sur-Loire se substitue au propriétaire du moulin, et où le niveau légal de la retenue est fixée à 2 m 574 en contrebas du dessous de la platebande de la porte du moulin ouverte dans la façade nord à 5 m 60 de l’angle rentrant formé par le bâtiment du moulin et un poulailler.
La commune reste soumise aux dispositions de l’arrêté préfectoral du 21 mars 1853 pour tout ce en quoi il n’est pas dérogé par les présentes ; notamment le niveau légal de la retenue et la commune devra assurer l’entretien du bief. La commune prend à sa charge la réfection des vannes.

18 mars 2013 : le Conseil Municipal de Saint-Michel-sur-Loire délibère pour transférer ce droit et cette obligation de la retenue d’eau du moulin de Pont-Boutard au Syndicat Intercommunal d’Etudes et de Travaux d’Aménagements des bassins versants des rivières Breuil et Roumer et de leurs affluents (SIETABR), qui en a la compétence, d’autant plus que ce syndicat est doté d’un technicien de rivière opérationnel. Une étude est en cours avec le syndicat de la Roumer pour établir les formalités, conventions, démarches administratives afin que ce transfert puisse se faire dans les meilleurs délais.
En 2013, le propriétaire du moulin de Pont-Boutard est toujours Madame Suzanne VALLÉE, veuve de Monsieur Gualbert DURAND.

Aquarelle de Catherine BACHELIER

En septembre 2017, Madame Suzanne DURAND-VALLÉE et ses enfants vendent le Moulin de Pont-Boutard à Monsieur Christian VIGNARDET devant Maître MORENO à Langeais. Le nouveau propriétaire va rénover les bâtiments.


Le moulin de Puits-Saint-Michel

Le moulin-cavier était un moulin érigé sur une structure de cave, s’articulant autour d’un pivot en bois « mais creux » pour laisser passer l’arbre moteur vertical communiquant l’énergie aux meules situées dans la partie basse, dans la cave.
De plus, sa structure cavique autorisait la préparation et la conservation du vin. Dans les salles avoisinant le blé, le stockage du vin, le pressoir et les mécanismes divers appropriés côtoient ceux du broyage des céréales.

La masse avait l’avantage d’éviter au meunier de monter et descendre les meules se trouvant en bas ; elle était conçue aussi pour absorber les vibrations parfois importantes des mécanismes lors de fortes bourrasques du vent. Aujourd’hui, en Indre-et-Loire, certains caviers ne sont plus utilisés que par des viticulteurs en lieu de caves où vieillit le vin en barriques, ou comme lieu d’habitation.

Sur les vingt-et-un moulins réduits en ruines, quinze étaient caviers  ; ne restent visibles, dans cette presqu’île du Véron, que six moulins conservant un caractère d’ancien moulin.
Il ne reste plus que quelques ruines et de curieux noms attachés à ces ruines de moulins : le « moulin Poupard », le « Puits-Saint-Michel » en cours de restauration. Un peu plus loin, le « moulin de Monsieur », en ruine, coupé en deux par un chemin qui trace la séparation entre l’Indre-et-Loire et le Maine-et-Loire.

A Candes-Saint-Martin, le moulin-cavier du Puits-Saint-Michel est constitué d’une salle voûtée en berceau menant à la salle des meules, dont la coupole est coupée par un plancher intermédiaire en bois. Un passage voûté permet de sortir sur la terrasse. Le moulin a perdu sa hucherolle et tout son mécanisme. L’habitation du meunier est contiguë et constituée de deux salles basses reliées au moulin par une porte donnant directement accès à la cuisine voûtée. Ce moulin a été en activité jusqu’en 1877.

Le moulin du Puits-Saint-Michel (rue du Puits-Saint-Michel)

On a, depuis le panorama dominant le village de Candes-Saint-Martin (site inscrit à l’inventaire depuis 1935), une vue remarquable sur la confluence de la Loire et de la Vienne, la plaine du Véron, les Puys du Chinonais, le Bourgueillois et le Saumerois.

Sur ce site subsistent les vestiges de l’ancien moulin des Pelouses de Candes.


La famille PETIT

Florent PETIT est né en 1772 à Artannes-sur-Indre, propriétaire ; il est le fils de Jean PETIT et de Marie BORET. Il épouse Catherine GUIGNARD le 21 nivôse V (mardi 10 janvier 1797) à Varennes-sur-Loire (Maine-et-Loire) : elle est la fille de Jean GUIGNARD et de Catherine DESCUIER.

  1. Leur 1er fils Florent Louis PETIT naît le 29 ventôse an VIII (20 mars 1800) à Montsoreau (Maine-et-Loire). Il sera meunier du moulin de Puits-Saint-Michel de Candes-Saint-Martin. Il épouse le 14 novembre 1826 à Montsoreau (Maine-et-Loire) Louise BORET, fille d’Urbain BORET et de Louise DESMET. Après le décès de Louise le 12 mai 1847 à Candes, il épouse en secondes noces Anne FOUGERAY le 14 février 1849 à Candes-Saint-Martin.
  2. Le 13 brumaire an XI (4 novembre 1802) à Montsoreau, naissance des jumeaux Louise et René PETIT. Leur oncle René PETIT, meunier, est le parrain des deux enfants.
    Le fils jumeau René PETIT, meunier au moulin de Puits-Saint-Michel de Candes-Saint-Martin, épouse Marie LAURÉ.
Signatures de Florent PETIT et René PETIT

Les enfants de Florent Louis PETIT et de Louise BORET

  1. Louis «Florent» PETIT, né le 11 mars 1828 à Montsoreau (Maine-et-Loire) meunier. Il épouse le 21 août 1851, à Souzay-Champigny (Maine-et-Loire), Marie BOUQUIN née le 5 octobre 1815 à Souzay-Champigny veuve de Jean BEAUFILS (elle est la fille d’Urbain BOUQUIN et de Marie HARDOUIN).
  2. Louise PETIT né en 1830 ; elle sera perruquière.
  3. Victor PETIT né le 20 juillet 1838 à Candes, meunier au Puy-Saint-Martin. En 1860 il ne sera plus que le gardien du moulin.
  4. Eugène PETIT né le 9 septembre 1840 à Candes-Saint-Martin. Meunier il épouse le 26 juillet 1864, à la Roche-Clermault, Anne RIOULT « meunière » née le 2 octobre 1839 à la Roche-Clermault, fille de Louis RIOULT et de Perrine MARTIN.

Le fils du jumeau René PETIT et de Marie LAURÉ

  1. René PETIT naît le 11 août 1830 à Candes-Saint-Martin. Meunier, il épouse, le 7 octobre 1860 à Chezelles (Indre-et-Loire), Joséphine MOIRIN née le 4 février 1833 à Chezelles, fille de François MOIRIN et de Marie DUBOIS.

Les enfants d’Eugène PETIT et d’Anne RIOULT

  1. Victor Eugène PETIT né le 1er août 1865 à Candes-Saint-Martin. Meunier il épouse le 4 juillet 1892, à Seuilly (Indre-et-Loire), Louise CRITON née le 27 avril 1874 à la Roche-Clermault (Indre-et-Loire). Germaine Victorine naîtra de leur union le 17 février 1897 à Seuilly.
  2. Gustave PETIT né en 1872.
  3. Alfred PETIT né en 1876.

Sources :
– Base de données CGDT

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